• Une magnifique chanson que vous devez absolument écouter jusqu'au bout. Ecoutez bien les paroles, laissez vous aller à la mélodie...

    My favourite song...

    Demi Lovato, Skyscraper.

    Skies are crying, I am watching
    Catching teardrops in my hands
    Only silence, as it's ending, like we never had a chance.
    Do you have to make me feel like there's nothing left of me?

    You can take everything I have
    You can break everything I am
    Like I'm made of glass
    Like I'm made of paper
    Go on and try to tear me down
    I will be rising from the ground
    Like a skyscraper, like a skyscraper

    As the smoke clears
    I awaken and untangle you from me
    Would it make you feel better to watch me while I bleed
    All my windows still are broken but I'm standing on my feet

    You can take everything I have
    You can break everything I am
    Like I'm made of glass
    Like I'm made of paper
    Go on and try to tear me down
    I will be rising from the ground
    Like a skyscraper, like a skyscraper

    Go run run run I'm gonna stay right here
    Watch you disappear yeah
    Go run run run yeah it's a long way down
    But I'm closer to the clouds up here

    You can take everything I have
    You can break everything I am
    Like I'm made of glass
    Like I'm made of paper
    Ohh
    Go on and try to tear me down
    I will be rising from the ground
    Like a skyscraper, like a skyscraper
    Like a skyscraper, like a skyscraper
    Like a skyscraper



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  • Je ne suis pas quelqu'un d'ambitieux, je ne me fixe pas d'objectifs impossibles à atteindre, je ne crois pas en ma bonne étoile. Si nous en avions réellement une, nous serions tous riches, beaux, adulés et aimés. Si nous avions une bonne étoile, nous serions tous les mêmes, ce qui est mal.

    Je ne suis pas non plus trop modeste. Je sais ce que je suis capable de faire, je sais que je pourrais passer ma vie à écrire, je sais que je pourrais remplir des pages et des pages sans jamais me lasser. Je sais que ce que j'écris à un sens, même si vous ne le voyez pas forcément et je sais qu'à force de patience, j'arriverais à captiver quelqu'un. N'importe qui. Je sais que je ne pourrais jamais faire de mathématiques, je sais que ce que j'aime c'est l'abstrait.

    Mes ambitions

    Je sais que je pourrais gagner un concours d'écriture, je sais que je ne sais pas calculer une puissance de deux. Je sais ce que j'aime et peux faire, je sais ce que j'aime et ne pourrais faire qu'en rêve et je sais ce que je n'aime pas.

    Je sais que je vous ennuie, avouez-le. Mais une question, si je vous ennuie tant, pourquoi êtes-vous là? Voyez-vous une once de génie en moi? Voyez-vous ce que j'aimerais tant vous montrer, à vous que je ne connais même pas? En êtes-vous capable? Car je voudrais vous montrer tant de choses, et pour cela je ne dispose que de mots. Est-ce suffisant?

    Cela demandera un effort de votre part autant que de la mienne, cela demandera de la patience et du temps, je le répète: le pouvez-vous? Pouvez-vous me comprendre? Je ris aux éclats. Quelqu'un comprend-il? Non. Cela n'arrive que dans les rêves...

    Mes ambitions


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  • La musique, ça fait partie de ma vie. C'est bien simple, il m'est impossible de l'imaginer sans. La musique ça vous berçait quand vous étiez petit, et aujourd'hui encore ça vous fait pleurer, ça vous rappelle de bons ou de mauvais souvenirs, ça vous remonte le moral...

    Music is life

    On va dire que je suis ouverte musicalement. Je peux écouter du rock comme de la pop ou de la variété française du moment que ça me touche. En conséquence, les chansons qui tournent dans mon iPod sont plus que diversifiées. Vous me surprendrez à écouter La Vie en Rose d'Edith Piaf puis Hysteria de Muse. Je ne cherche absolument pas à me démarquer musicalement ni à rentrer dans un moule. Quand j'aime, j'aime. Quand je déteste il ne faut pas insister. ^^

    Music is life

    Encore ici, je suis moi et personne d'autre. D'ailleurs en écrivant cet article, j'écoute en boucle les Red Hot Chili Peppers. 

    Bref. Pourquoi sommes-nous ici entrain de parler musique alors qu'on ne se connait ni d'Adam ni d'Eve? Eh bien je peux vous répondre, cette fois-ci. Si vous n'avez pas quitté le blog en courant c'est que vous êtes quelque part intéressé par mon baratin inutile? Ne niez pas. Ne faites pas non de la tête, vous savez que c'est vrai...

    Je suis entourée de gens qui font de la musique. Etant très peu coodonnée dans mes mouvements, je ne vois pas l'utilité de me payer des cours de musique. Les cordes de la guitare ne tiendraient pas longtemps avec moi, et la flûte serait vite brisée en deux. Alors je me contente d'écouter et de vivre la musique... C'est déjà beaucoup, non?

    Sur ce, quelques images chansons et images:

    http://www.youtube.com/watch?v=QJO3ROT-A4E

    Music is life

    http://www.youtube.com/watch?v=w1rLZfAfQLM

    Music is life

    http://www.youtube.com/watch?v=3dm_5qWWDV8&ob=av2n

    Music is life

    Music is life

    Music is life

     


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  • Ici je vais vous montrer un texte. Un simple texte, une fiction. Une fiction, une histoire d'amour. Une histoire d'amour éphémère qui ne se termine pas bien, pour une fois. Une histoire d'amour que n'importe qui aimerait vivre, moi aussi je l'avoue. Bref, ce texte je l'ai écrit pour un cours de français. J'ai d'ailleurs été félicitée par mes professeurs comme par mes amies (pour une fois, héhé). Et j'aimerais vous le faire partager. Alors installez vous confortablement et laissez vous emporter, vous êtes le personnage... Enjoy! 


    Un texte, une vie...


    Lui, pour toujours


    -Ce fut comme une apparition, lâchai-je, les yeux brillants. Votre grand père était à mes yeux le plus bel homme du monde. Sa façon de se mouvoir, ses cheveux noirs de jais, les traits de son visage si doux, mais si dur à la fois... Nous nous sommes rencontrés pour la première fois un soir de novembre. Il faisait gris, il avait plu. Il faisait gris mais cela reste pour moi le plus beau ciel, les plus beaux nuages, la plus belle pluie, même, à mes yeux.

    Je m'interrompis un bref instant. Le regard de mes trois petits enfants s'emplissait de larmes. Leur grand père, mon seule et unique amour, la flamme de vie sans laquelle je ne méritais même pas d'exister, venait de s'éteindre laissant derrière elle un grand vide. Un vide, oui, un vide. Ce vide, j'en étais sûre, je ne parviendrais jamais à le combler.

    -Continue, Mamie. Continue!

    La voix tremblotante du petit homme amplifia la boule qui m'obstruait la gorge depuis qu'Il n'était plus là. 

    -Je me rendais à la boulangerie près de chez moi. J'avais dix-sept ans. Ah, quelle belle époque! On me connaissait bien dans le quartier. On me connaissait mais je ne connaissait que peu de gens. Ma mère m'avait dit de me dépêcher car le dîner était prêt. Elle avait mis tout son coeur, tout son amour, dans la confection de notre souper. Il ne fallait pas qu'il refroidisse. Je me pressais donc, tâchant de marcher à grandes enjambées, sans toutefois que ma jupe ne remonte. Malheureusement, je faisais peu attention à la position de mes pieds. Ceux-ci se prirent dans l'une des nombreuses inégalités du sol, m'entraînant irrémédiablement dans une chute. Assise sur le sol humide, boueux, je restai dans un état de stupeur apparente.

    <<Ma chute n'en était pas la cause. La cause, c'était Lui. Lui qui se trouvait devant moi, lui qui s'était retourné, qui m'avait demandé si j'allais bien. Lui qui m'avait relevée. La plupart des gens auraient ri devant cette situation qui, d'un point de vue extérieur aurait pu paraître comique. Pas lui. Oh non, pas lui. Lui, il m'a souri. Ses mains puissantes ont entouré les miennes et mes yeux ont plongés dans les siens dans un geste de reconaissance, d'admiration. Il ne détourna pas le regard. J'aimais son regard, je voulais qu'il reste fixé sur moi pour toujours. J'aimais ses yeux. J'aimais leur couleur verte. Je suppose qu'il aimait les miens. J'aimais le fait qu'il aime les miens, même s'il ne s'agissait que d'une supposition. J'aimais cette éventualité. Je l'aimais, lui.

    <<Il me demanda mon nom. Je lui répondis sans détacher les yeux de son visage. Et quel visage! Un visage, un Adonis, une sculpture! Mieux: lui. Il me demanda où j'allais. Je lui dis que je n'en avais que faire. Lui, il voulait le savoir. Alors je lui répondis. C'est là qu'il me souleva. On aurait dis que je ne pesais pas plus qu'une plume. Ses muscles saillants ajoutaient à son charme. Il insista pour me transporter jusqu'à la porte de chez moi. Il me conduisit donc à la boulangerie, paya de sa poche sans toutefois me poser à terre. Il marcha ensuite jusqu'à chez moi, moi lovée dans ses bras. Je voulais que ce moment dure éternellement. Mais il me déposa à terre. 

    <<C'était trop tôt. Trop tôt pour qu'il s'en aille. Laissant tomber tout ce que je portais, je courus jusqu'à lui. Je voulais sentir sa chaleur juste un instant de plus. Il se retourna, un sourire aux lèvres et m'enlaça durant une éternité bien trop courte. A l'oreille, il me souffla la phrase en trois mots. Rougissante et fiévreuse, je lui rendis un dernier sourire.

    Les trois enfants pleuraient toutes les larmes de leur corps. Je les conduisis donc à leurs chambres respectives, déposant un ultime baiser sur leur front.

    Il n'était plus là. Alors tout était fini. Je me rendis dans ma chambre, soufflai la bougie. Et l'instant d'après, je le rejoignais.

     

    Alors, on en pense quoi? On aime, on aime pas? Ce que j'écris c'est pour moi, c'est pour vous. Vous qui avez pris le temps de me lire, vous qui avez ressenti ce que je voulais vous faire ressentir, vous qui avez peut-être versé une larme ou esquissé un sourire, vous qui n'êtes pas resté de marbre face à ce que j'ai imaginé, créé, écrit, publié. 

    Vous, c'est pour vous que j'écris! ^^


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  • Ah tiens, vous êtes toujours là? J'en suis étonnée! Mais restez, tant que vous y êtes! Nous sommes ici pour parler de moi, non?

    Je ne suis pas gentille, je ne suis pas méchante, je ne suis pas intelligente, je ne suis pas idiote, je ne suis pas folle, je ne suis pas sage, je ne suis pas faible, je ne suis pas forte. Que reste-t-il? Cherchez-bien, que reste-t-il pour qualifier cette fille, hein? 

    Prenez votre dictionnaire et adossez vous. Un mot. Un seul mot. Moi. C'est cela, non? Non? Me connaissez-vous? Non. Alors pourquoi nier? Il n'y a pas de raisons. Et pourquoi aquiescer? Il n'y a pas de raisons non plus. Alors que pouvez-vous faire? Absolument rien. Vous êtes de simples spectateurs, vous lisez, vous voyez mais point vous n'agissez. Vous ne comprenez même pas ce que je dis. Je m'exprime pourtant dans la langue de Molière! Mais pensé-je de la même façon que lui, que vous, que quiconque sur cette planète? Y a-t-il quelqu'un ici qui comprenne et approuve ce que je suis entrain de dire? 

    Non. Cela n'est pas possible car je ne dis rien. Chut! Je suis entrain de parler? Et que dis-je? Ecoutez, écoutez, tirez un seul message de ma longue tirade et donnez le moi. Trouvez vous quelque chose? Rien du tout!

    Alors pourquoi suis-je ici si ce n'est que pour écrire sans rien dire, sans rien exprimer? Eh bien j'exprime des choses mais seulement les voyez-vous? Etes-vous seulement capable de les comprendre? Si vous l'êtes: chapeau! Sinon: vous êtes normal, tout simplement!

    Et moi, pour conclure, je suis la fille qui a écrit ce texte et qui pense ce qu'elle a écrit dans ce texte, je suis la fille qui comprend ce qu'elle a écrit dans ce texte. Et pour le comprendre il faut penser comme moi!

    Mon idéal c'est d'écrire librement, comme je viens de le faire. Peu importe que vous me compreniez ou non. Le fait est que j'écris, je suis libre!

    Moi, tous les jours

     


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